Undergrounder ? Post –ado lumineux ? Précurseur ? Philosophe éveillé ? … Difficile de qualifier le jeune Jacques Auberger (haut-perché), mais est-ce si important ?
Il répondrait probablement qu’il aime à provoquer cette confusion dans nos esprits cartésiens. Le verbe haut et en perpétuelle recherche de lui-même, il lutte immanquablement contre ses propres acquis. Irrévérencieux et digne héritier du dadaïsme, il explore la liberté sous toutes ses formes.
Tantôt co-organisateur de soirées branchées, tantôt squatteur démuni de tout, compositeur de musique électronique et artiste protéiforme, perdu entre méditation réfléchie et spontanéité préméditée, Jacques Auberger a quitté Strasbourg pour Paris il y a 3 ans dans le cadre du cursus « anti-scolaire » d’une école de plus en plus à la mode : l’école de la Vie.
Depuis peu, Jacques a emménagé dans les anciennes usines (presque éponymes) de piles Wonder à St-Ouen, où il vit à l’Africaine, dans le désir perpétuellement assouvi d’une harmonie imparfaite.